Si l'on regarde de près les chiffres diffusés récemment par l'Institut Montaigne et consacrés à la gestion des grandes villes de France depuis 2001, on se dit que l'on peut être fier d'être Lyonnais. Surtout si l'on compare Lyon à notre devancière, Marseille. 

Dans le cadre de son analyse « Municipales 2014 – Chiffrages – Déchiffrages » qui passe au crible la gestion des 10 plus grandes villes de France, publiée dimanche 8 décembre 2013, l’Institut met en lumière le modèle lyonnais.

A quatre mois des élections municipales, l'Institut Montaigne a publié une étude chiffrée pour éclairer les politiques financières et budgétaires des dix plus grandes villes de France. Dans ses conclusions, ce groupe de réflexion et d'étude, plutôt situé à droite, dresse un bon bilan de la gestion de Gérard Collomb, le maire de Lyon, soulignant notamment...

Le maire, et candidat socialiste aux municipales, a réagi hier à la publication du rapport de l'Institut Montaigne (Le Progrès de lundi 9 décembre). Forcément satisfait que ce laboratoire d'idées -plutôt classé à droite dresse un satisfecit de sa gestion.

Selon l'Institut Montaigne, la capitale des Gaules fait figure de bonne élève en terme de gestion financière. L'organisation souligne notamment que "sous les deux précédentes mandatures, dépenses ont progressé moins rapidement que les recettes, et moins rapidement que la moyenne des grandes villes françaises comparables".

La ville de Lyon a réduit sa dette de 21 %. Une plutôt bonne performance au sein des grandes villes de France passées au peigne fin par l’institut Montaigne. Lyon est plutôt vue comme un bon élève en termes de gestion financière. Tel est le constat dressé par l’Institut Montaigne, en partenariat avec « Les Echos »...

Le think tank indépendant, dans le cadre de son opération "Municipales 2014-Chiffrages-Déchiffrages", se penche sur les bilans des municipalités des 10 plus grandes villes françaises. Dimanche, l'Institut Montaigne a publié son avis sur le mandat de Gérard Collomb et il est plutôt enthousiaste.

Mise en place de contrôleurs de gestion dans chaque direction, création d’une équipe d’acheteurs professionnels dont certains issus du privé, rationalisation des actions et prestations de la ville par un travail de comparaison avec les tarifs municipaux des autres villes françaises. A l’heure où l’Etat accélère la politique de baisse des dépenses, le maire de Lyon...